Cet épisode fait partie du thème Les études d’art, nous répondons à la question : Quelles sont les spécialités et qualités requises pour suivre des études d’art ?
Vous êtes nombreux.ses à être attiré.e.s par les études d’art.
Quelles sont les spécialités les plus pertinentes si l’on veut se donner toutes les chances d’intégrer une formation artistique ?
Quelles qualités et compétences sont nécessaires pour intégrer cette voie ?


Vous dessinez depuis votre plus jeune âge, vous êtes fans de lego ou élaborez des chorégraphies savantes dans votre chambre, sachez que si vous vous destinez à un bac général, et si votre lycée le propose, une option arts de 3h par semaine de la seconde à la terminale est possible. Il s’agit ici de culture générale et non de cours pratiques.

Le choix des spécialités

Arrivé.e en première, il sera possible de choisir un enseignement de spécialité « Arts », à raison de 4h par semaine en 1ere et 6h en terminale, parmi les 17 proposés (arts plastiques, danses, musique etc..).
Prenez donc bien soin de réfléchir à la spécialité en question : quelle est la plus pertinente pour mon projet professionnel et quelles autres spécialités associer ?

Une voie non enfermante

L’avantage lorsqu’on se destine à des études d’arts est que cette voie n’est pas
« enfermante ». Elle nécessite une ouverture d’esprit, élément essentiel pour nourrir sa créativité, et permet d’ouvrir à différents choix de spécialités. Ici, vos centres d’intérêts vont jouer un rôle important.


Vous voulez devenir céramiste ? Les matières scientifiques, notamment la physique- chimie, sont une bonne option pour intégrer ensuite une formation spécifique en artisanat d’art.
Pour accéder à un poste de designer d’objet, par exemple, de solides connaissances en numérique et en mathématique, seront des atouts indéniables.

Les qualités requises

Mais que l’on veuille devenir designer, architecte ou danseur, les qualités requises restent similaires, même si les métiers diffèrent.


Avoir l’esprit “créatif”


Il est préférable de posséder un goût pour la fabrication, la conception intellectuelle comme manuelle et la réalisation.
Un esprit concret, pratique, manuel et qui aime expérimenter aura toutes ses chances pour réussir des études artistiques.


Être curieux.se


Il est essentiel d’être curieux.se d’esprit : aller au musée, voir des expositions, des documentaires, lire des livres ou écouter des podcasts (!) nourrit sa créativité et entretient l’inspiration.
Plus vos centres d’intérêts seront variés, plus votre imagination se développera ainsi que votre culture générale.


Posséder un esprit indépendant et organisé


Lors de vos études d’art vous serez amené.e à réaliser des projets artistiques en équipe mais aussi seul.e, il faut donc être autonome, rigoureux, car les formations artistiques demandent une grande capacité de travail et d’organisation.


Travailler sa culture générale


Avoir une culture artistique c’est bien, mais une culture générale c’est encore mieux. Aimer lire et écrire, posséder des compétences littéraires et des connaissances en histoire de l’art font partie du bagage de l’étudiant en art.

Une aisance à l’oral comme à l’écrit

Tout au long de votre formation, vous allez devoir argumenter et défendre vos projets artistiques. Avoir une aisance à l’oral comme à l’écrit, posséder un esprit d’analyse, et savoir hiérarchiser ses idées, sont autant d’atouts pour y parvenir.
Maitriser une langue étrangère s’avèrera aussi nécessaire et sera exigé dans vos études artistiques.


Maîtriser les technologies numériques et un certain savoir scientifique


Des compétences numériques et technologiques jusqu’à des connaissances scientifiques sont désormais indispensables.
Il est nécessaire de maîtriser des logiciels techniques en fonction de la filière choisie (Photoshop ou Illustrator dans le domaine du design graphique par exemple) ou des savoirs scientifiques, lors de certains concours d’entrée (filières liées à l’artisanat d’art).
Se tenir au courant des dernières évolutions en termes de logiciels est aussi primordial dans ce secteur.

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Cet épisode est proposé par Stéphanie Bordenave

Cet épisode fait partie du thème Les études d’art, nous répondons à la question : Pourquoi faire une prépa d’art ?

Intégrer une école d’art n’est pas toujours facile, l’accès y est assez sélectif : qu’elles soient publiques ou privées, les prépas d’art sont un bon moyen pour aider à passer les concours d’entrée de ces établissements.

D’une durée d’un an, ces classes vont permettre aux étudiant.es de bien cibler les écoles sélectionnées et parfaire leurs dossiers de travaux artistiques en vue de ces concours.


 En préambule

Il est bon de rappeler que les prépas d’art n’ont rien à voir avec les classes préparatoires arts et design qui, elles, forment au concours design de l’ENS (Ecole Nationale Supérieure). Ces classes préparatoires arts et design forment les étudiants aux différents champs du design et vise, à terme, l’enseignement (via l’agrégation d’arts appliqués) et la recherche. Elle donne aussi accès aux écoles supérieures d’art ou à l’université.

A qui s’adressent les prépas d’art?

Les prépas d’art s’adressent aux bacheliers ayant suivi une formation générale, technologique ou professionnelle avec ou sans un enseignement artistique et désireux de se présenter au concours des écoles supérieures d’art.

Elles sont aussi accessibles aux étudiant.es ayant déjà entamé des études supérieures et souhaitant se réorienter vers des écoles d’art.

Comment se déroule la formation?

 Les prépas d’art sont conçues comme une ouverture sur les différentes pratiques artistiques (dessin, peinture, sculpture, photographie…). Le rythme de travail y est soutenu, environ 35 heures de cours par semaine.

La prépa d’art apporte un suivi rigoureux tout au long de l’année afin d’être bien préparer aux examens. La formation combine des enseignements théoriques, notamment en histoire de l’art, mais aussi, des cas pratiques, via la présentation de projets artistiques évalués par des jurys en vue des concours, ainsi que des travaux en atelier.

C’est également l’occasion de rencontrer des professionnels du monde artistique dans le cadre de workshop.

 L’objectif de cette année de préparation est de cibler les écoles choisies, faire évoluer les techniques des étudiant.e.s pour constituer des dossiers de travaux artistiques personnel (books), adaptés aux attentes des écoles et présenter un projet mûrement réfléchi et qui reflète la personnalité et les intérêts de l’étudiant.e.

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Cet épisode est proposé par Stéphanie Bordenave

ARTS PLASTIQUES ou ARTS APPLIQUÉS, écoles publiques ou privées, les études d’art offrent un large panel. Attention il faudra bien vous renseigner pour chaque sur le processus d’inscription et voir s’il passe par Parcoursup ou pas.

Cet épisode est un topo généraliste des choix qui vous sont offerts : Tout d’abord, les écoles post Bac sur dossier, où 3 grandes options se dessinent: les écoles des Beaux Arts, le DN MADE et les écoles nationales supérieures d’art.

En parallèle de ces 3 voies, il existe  l’option des écoles sur concours:  les écoles du patrimoine, et les conservatoires.

Pas toujours simple de s’y retrouver!

Tout d’abord, voyons LES ÉCOLES POST BAC sur dossier, où 3 grandes options  se dessinent: Les écoles des beaux arts, le DN MADE et les écoles nationales supérieures d’art.

Il existe une quarantaine d’ÉCOLES DES BEAUX-ARTS ou autrement appelées écoles supérieures d’art. Elles sont publiques et mènent au DNA (Diplôme national d’art) puis au DNSEP (Diplôme national supérieur d’expression plastique). Ces formations sont très demandées et sont donc sélectives. 

Toujours dans les écoles post bac, voyons Le DN MADE (diplôme national des métiers d’art et du design) . C’est un parcours de 3 ans de formation généraliste puis plus personnalisé à votre objectif. Vous y découvrirez les connaissances et les compétences professionnelles nécessaires à un parcours professionnel des métiers d’art et du design. Un épisode dédié au DNMADE est disponible dans le thème Les études courtes.

Enfin, dans les écoles post bac, LES ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES D’ART

Ce sont les « Grandes écoles » de l’art, et ont une chacune une orientation spécifique : le cinéma, le théâtre,l’ art plastique, … Ce sont des écoles publiques, qui donnent accès à un  diplôme d’écoles reconnus à bac + 5. Le recrutement se fait après le bac, à bac+2 ou à bac + 3, selon le cas.

En parallèle de ces 3 voies, il existe  l’option des écoles SUR CONCOURS, souvent de haut niveau:  les écoles du patrimoine, et les conservatoires

LES ÉCOLES DU PATRIMOINE donnent accès à des écoles comme l’Ecole du Louvre ou à  l’ INP autrement dit Institut National du Patrimoine. Elles s’intègrent sur concours après BAC à BAC +3

LES CONSERVATOIRES ou autrement appelés les CNS (conservatoires nationaux supérieurs) n’intègrent leurs élèves que sur concours et qu’après une formation artistique initiale, faite dans conservatoires à rayonnement régional ou départemental.

Pour se préparer, il est possible de passer par une année de prépa- art , soit en s’inscrivant  de l’établissement choisi, soit pour les CPES-CAAP, en passant par Parcoursup. En moyenne 10 à 20 % des candidats sont admis. La sélection sera faite sur entretien de motivation et présentation de réalisations personnelles. 

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Cet épisode est proposé par Marie TALLOT

Dans cet épisode, nous répondons à la question : Quel accord serait acceptable en ce qui concerne les écrans?

Une approche complémentaire aux autres conseils stipulés dans les épisodes de ce thème serait de proposer à votre enfant un contrat dans lequel vous établissez des règles ensemble. Avoir un accord commun va non seulement apaiser vos relations au quotidien et surtout responsabiliser votre ado. Peut-être en différenciant les périodes scolaires et les vacances

Comment s’y prendre ? 

Discutez du problème, chacun son tour. On s’attache aux faits, sans jugement

Vous recherchez des solutions mutuellement acceptables  (Brainstorming)

Vous trouvez un accord sur un délai avec dates précises et un suivi

Attendez vous que votre ado ne va tout de suite et tout le temps respecter cet accord. Cela s’améliorera grâce à l’apprentissage. Par contre, nous devons tenir nos engagements. 

Voici quelques astuces pour un suivi efficace des engagements

S’en tenir à “Je remarque que…” “merci de le faire maintenant”

Quand il y a objections, juste lui demander “quel était notre accord?”

Utiliser la communication non verbale

Quand le contrat est tenu dites lui simplement “Merci d’avoir respecté notre accord”

Ne rentrez pas dans le jugement, dans la critique. Restez neutre pour maintenir le respect mutuel

Les phrases à éviter car elles sabotent tout le travail d’apprentissage et de responsabilisation que vous suscitez avec la mise en place de cet accord.

  • “Je reprends ton téléphone””
  • “Je croyais pouvoir te faire confiance”
  • “Je savais que tu n’allais pas respecter notre accord”
  • “Tu n’es pas assez mature””
  • “Tu es privé d’écran”

En bonus, nous indiquerons dans les notes de cet épisode quelques liens vers des des vidéos pour aborder le sujet des écrans avec votre enfant.

 Comment aider mon enfant à se déconnecter la nuit FamiNum – Comment aider mon ado à se déconnecter la nuit ? – YouTube

Comment apprendre à mon enfant à gérer son temps d’écran ? FamiNum -Comment apprendre à mon enfant à gérer son temps d’écran ? – YouTube

Sources : Voir l’article de Youen Tanguy de LCI.fr du 6 février 2017 et celui de Laure Belot sur le Monde.fr du 24 juin 2019

Rendez-vous pour d’autres épisodes sur le thème de la gestion des écrans.

Bonne écoute!

Cette série d’épisodes est proposée par Cécile SOLAR

Dans cet épisode, nous répondons à la question : Comment aider son ado à se déconnecter des réseaux sociaux, messageries et autres et ainsi gérer son temps d’écran ? 

Voici une liste d’idées hors des possibilités techniques existantes

– écouter des Podcasts ou de la musique le soir (bonne manière de se couper un peu des écrans sans lâcher son smartphone)

– des repas sans écrans, sans portable pour un retour aux échanges et à la communication. Et en plus, c’est bien meilleure pour la digestion

– désactiver les notifications. Cela permet de décider des moments de connexion

– éteindre les écrans au moins 1h avant de se coucher. Cela va les aider à avoir un sommeil réparateur

– La nuit tous les portables et les écrans se chargent dans le salon. Tout le monde joue le jeu

– être un exemple afin d’être crédible quand vous négociez avec votre enfant. Ne pas juger trop vite.

– Proposer des activités alternatives en prenant compte de ses goûts (et pas de vos attentes)

– Laisser un peu de marge de manœuvre. En étant trop intrusif, vous finirez par le braquer. Ce sera alors contre-productif.

– au lieu de s’attacher à une limite précise de temps, il est bien plus intéressant de définir un référentiel de temps défini en fonction de ce qu’il va en faire. Le but est qu’à termes il apprenne à s’auto-réguler. 

– Prendre le temps d’échanger sur ce qui l’intéresse. Jeux vidéos ? Tutos sur YouTube?  Privilégier le dialogue et le questionnement. 

– Aider le à avoir une pratique moins passive en cherchant avec lui des contenus adaptés à ce qu’il aime. 

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Cette série d’épisodes est proposée par Cécile SOLAR

Dans cet épisode, nous répondons à la question : Quelles sont les caractéristiques de l’homo connecticus?

A l’ère de Homo connecticus, comme certains nous appellent, nos objets connectés sont devenus des extensions physiques et digitales de nous même. A l’image de ces outils, il faut être disponible à tout moment, flexible, réactif et multitâche. Or nous restons des humains. Pour preuve, nous devenons de plus en plus impatients. (ce qu’une machine ne peut connaître). Nos stimuli cognitifs sont de plus en plus sollicités aussi bien en termes de fréquence que d’intensité.

Cela a pour conséquence que notre temps d’attention serait maintenant de 9 secondes, pas loin de celui d’un poisson rouge.

Pourquoi est-ce si difficile de lever les yeux des écrans ? Pourquoi nos ados sont-ils accros ?

Justement parce que les entreprises du numérique basent leur business sur l’économie de l’attention. Les différents outils et applications tentent de nous manipuler en diffusant la dopamine. Ce neurotransmetteur est lié au plaisir, à la motivation et à l’attention donnant toujours plus envie, toujours plus longtemps de rester devant un écran. Attention une sollicitation intense et répétée de ce neurotransmetteur  entraîne des addictions.

En utilisant la fonction scrolling, les réseaux sociaux retiennent ainsi fortement notre attention. Tout comme les notifications.

Et pour nos ados, nous devons garder en mémoire

Leur cerveau est en chantier. C’est une réelle métamorphose qui s’opère dès l’âge de 12 ans environ. ⅓ des structures cérébrales se réorganisent à cette période.

Leurs émotions sont plus difficiles à gérer. Ils sont plus sensibles aux sollicitations et aux récompenses et ont du mal à s’auto-réguler. 

Ils ne font pas que du récréatif. Et ces 2 dernières années n’ont fait qu’amplifier cette tendance.

C’est bien plus qu’un écran. Il leur permet de rester en lien, de développer une nouvelle personnalité

Ce qui nous inquiète en tant que parents en réalité, ce n’est pas seulement le temps que nos enfants passent devant un écran ; c’est également ce qu’ils y font. 

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Cette série d’épisodes est proposée par Cécile SOLAR

Dans cet épisode, nous répondons à la question : Sommes nous tous accros?

52 fois par jour.

C’est en moyenne et dans le monde, la fréquence à laquelle nous consultons notre smartphone. En France, une personne sur cinq le regarde moins de 5 minutes après son réveil. Et il y a presque une chance sur deux pour qu’elle y jette un coup d’œil pendant la nuit. Nous passons une journée entière par semaine à regarder nos écrans de téléphone. Durant cette journée, nous faisons défiler 90 mètres de contenus. Quatre personnes sur cinq consultent leur téléphone pendant un repas de famille ou une soirée entre amis. Deux tiers de la population française s’estiment dépendants de leurs objets connectés.

Et il s’agit ici que d’une étude portant sur le téléphone portable et avant COVID-19. Et il y a aussi l’ordinateur, la TV, la tablette et les jeux vidéos. On peut donc présager que ces chiffres sont loin de la réalité d’aujourd’hui dans les foyers. On sait par exemple que 70 % des jeunes ont un appareil numérique en permanence dans leur chambre, ce qui inquiète 81 % des parents concernant le temps d’écran. Nous craignons pour leur qualité de sommeil, qu’ils deviennent addicts, qu’ils perdent leurs liens sociaux. Mais rassurons nous. 

Mais d’ailleurs le temps d’écran qu’est ce que c’est ?

On parle de + de 5 écrans / famille. Les études sur le temps sont un peu floues mais globalement on sait que les ados passent 4 à 5 h/jour devant un écran, soit  33% de plus en 10 ans. Ce qui représente 1/3 de leur temps hors sommeil.

Les parents ont tendance à sous-estimer le temps passé par leurs enfants devant leurs écrans de 23%, sur une semaine moyenne (jusqu’à 39% pour leur temps passé sur leur smartphone).

En 2021, les parents déclarent que les règles pour limiter le temps d’écran sont de plus en plus difficiles à maintenir : 

  • 41% peinent à montrer l’exemple en limitant leur propre temps d’écran (+13 points vs 2019*). 
  •  42% ont du mal à limiter le temps d’usage des écrans de leurs enfants (+7 points vs 2019*).

Et vous? Avez-vous déja fait le compte de votre temps passé sur les écrans?

Comment vous situez-vous par rapport au temps passé de vos enfants?

Et si vous compariez votre temps d’écran avec celui de votre ado ? Vérifiez votre temps hebdomadaire indiqué sur votre smartphone. Alors qui est le plus accro ?

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Cette série d’épisodes est proposée par Cécile SOLAR

Dans cet épisode, nous répondons à la question : Pourquoi faut-il apprendre à consommer les écrans?

On reconnaît tous que le numérique apporte 1001 possibilités à ce monde pour s’informer, travailler, s’éduquer, s’amuser, se distraire et élargir notre champ des possibles. Nous devons cependant faire attention à ce que le numérique reste un outil à notre service et non l’inverse où l’être humain serait traité comme un produit.

Nous devons donc apprendre “à consommer” ces services en conscience. Et pour cela, nous devons apprendre. Nous et également nos enfants. Apprendre à utiliser le numérique en conscience et à bon escient, comme nous leur avons appris à marcher, nager ou faire du vélo. 

Bien qu’on appelle cette génération les “digital natives”, ils n’en demeurent pas moins des “digital naïfs”.

Quant à notre génération et celles qui nous précèdent, nous avons dû prendre le train en marche. Et là, est LA difficulté. Car nous devons découvrir et apprendre en même temps que nos enfants et sur de nombreux sujets ils semblent qu’ils aient une longueur d’avance. Mais ce retard, on peut le rattraper.

D’ailleurs les créateurs de l’application My Twiga pour parent et pour ado, utilisent une chouette comparaison. Je cite :  “Nous, ne donnerions pas à notre enfant, les clés de la voiture avant qu’il ait eu des cours de conduite et son permis. Il en est de même avec ses écrans. Il a dans sa main, un smartphone qui a la puissance d’une Ferrari. À nous, parent, de lui donner son permis d’utiliser le digital dans les meilleures conditions” 

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Bonne écoute!

Cette série d’épisodes est proposée par Cécile SOLAR

Ah! les écrans! Si au collège les parents pensaient avoir la main, au lycée… ce n’est plus le cas…

Les ados qui sont nés dans un univers omni connecté pensent avoir le dessus. Les études montrent bien que ce n’est pas le cas. 

Ce sont leur doudou de grands ados : leurs portables, les ordis, les consoles, les écrans en général. Ne nous voilons pas la face, ils y consacrent un temps précieux. Un temps qui pourrait évidemment être mieux consacré. Si je ne réussis pas à savoir combien de temps exactement mes enfants y passent par semaine, je sais combien de temps j’y passe. Et cela m’inquiète pour moi. et pour eux.

Mais pourquoi parler de ce sujet, des écrans, dans un podcast lié à l’orientation?

Et bien, c’est un peu une évidence pour moi. Le sujet de l’orientation ne se limite pas à quelques heures bien définies dans le mois, mais cela concerne une période de plusieurs années. et pendant cette période, de nombreuses décisions sont prises et de nombreux comportements ont une incidence sur l’avenir. D’autres épisodes traitent de la respiration et du stress, d’autres de l’alimentation et de l’énergie… et il me semblait que le sujet des écrans de nos ados ne pouvait être évité.

Je prends le temps de vous annoncer les 7 thèmes qui seront développés.

Il y en aura peut-être même d’autres.

Le premier : Comment aider mon ado à équilibrer son temps d’écrans ?

Le second : Comment aider mon ado à protéger ses données sur les Réseaux Sociaux ?

Le troisième : Comment aider mon ado à gérer son image sur lesRéseaux Sociaux  ?

Le quatrième: Comment aider mon ado à repérer les fausses infos en ligne ?

Le cinquième : Comment aider mon ado à se protéger des contenus choquants

Le sixième: Comment aborder le sujet du  cyber-harcèlement avec mon ado ?

Le septième: Comment accompagner mon ado dans son utilisation des jeux vidéos?

C’est donc avec un premier thème que s’ouvre cette rubrique : Comment gérer les écrans.

Bonne écoute!

Cette série d’épisodes est proposée par Cécile SOLAR

Nous avons la chance de recueillir ce témoignage d’une maman dont la fille a postulé à des formations très variées tout en menant en parallèle un projet d’année de césure. Elle explique au micro d’AZIMUT comment s’est forgé le projet de voeux, les réponses obtenues, l’attente et la gestion des voeux acceptés.

Un témoignage utile et rare pour tous ceux qui vont se lancer dans l’aventure Parcoursup.

Retrouvez d’autres épisodes sur Parcoursup

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